3 Commentaires

  1. Beurk! Voilà un article mal écrit (la fin est à la limite du compréhensible), au titre perfide et, pour finir, qui répand encore un fois l’idée qu’un livre qui rapporte de l’argent est forcément mauvais. Mauvais soit en lui-même (ce que la journaliste se garde bien d’écrire ici), soit pour son entourage, au sens large. Eh quoi, Littell aurait-il dû consulter ses confrères avant de vendre au mieux ce qui lui a coûté des années de travail? Alors, jalousie de journaliste face au succès d’un romancier? Ou téléguidage de cette même journaliste par des auteurs et éditeurs ‘concurrents’? C’est petit en tout cas…

  2. Bigre ! Je ne l’avais pas du tout lu comme ça.
    Ce que je trouve inquiétant, c’est que les droits pour l’étranger, qui représentent un capital non négligeable pour l’éditeur, ne passent plus par lui. Ce manque à gagner ne fait que fragiliser, à mon sens, ce qui reste de l’édition indépendante…
    Mon titre un peu accrocheur a peut-être rendu opaque ce que je voulais pointer !

  3. Je ne me rends pas très bien compte de la part de bénéfice que les ‘petits’ éditeurs indépendants vont chercher dans les droits pour l’étranger…Sont-ils importants ou au contraire ces éditeurs ne sont-ils pas plutôt spécialisés dans l’édition ‘nationale’? Quant au problème des ‘agents littéraires’, les éditeurs français auraient dû s’y attendre non? Il y a bien longtemps que le phénomène est répandu aux Etats-Unis…Peut-être auraient-ils pu anticiper et choyer leurs auteurs pour ne pas leur donner envie d’aller voir ailleurs si l’herbe y est plus verte…

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