Où l’on se rend dans un temple du savoir et ce qui s’ensuit

Avertissement. Ceci est un billet à clés que vous n’êtes pas tous censés comprendre. Et ça m’amuse…
Chapitre 1. Où l’on assiste à une journée professionnelle de qualité et où l’on repère incidemment le curieux dessin d’un gros animal sur le t-shirt de l’un des intervenants.
Chapitre 2. Le lendemain, comment l’on découvre que l’animal sur le t-shirt d’icelui avait été dûment choisi pour cette manifestation quand on évoque, incidemment encore, le dessin vu la veille sur le pioupiou du réseau. Alors qu’on peut vérifier une nouvelle fois l’affirmation péremptoire de l’arrière-grand-tante de la maison de la rue (qui n’eut pourtant l’heur – ou pas d’ailleurs – de nous connaître seulement quelques jours), « Cette enfant, quel œil scrutateur ! », l’on s’aperçoit que la mention dudit animal dessiné sur le t-shirt sus-cité (l’on me suit toujours ?) fait jaillir force souvenirs chez le propriétaire dudit vêtement et chez quelques-uns de ses plus proches gazouilleurs.
Chapitre 3. Où l’en sort finalement grandi, étant désormais capable de faire un lien entre un rhinocéros et le comte de Monte-Cristo qu’on envisage d’ailleurs de lire pour le week-end.
Epilogue. Quand l’on réfléchit à adresser des remerciements émus au chasseur-cueilleur paternel qui a transmis l’œil scrutateur et a appris à le développer grandement.
Apostille. La forme « l’on » vient de ce que le pronom indéfini dériverait de la tournure « l’homme », m’a-t-on appris au temps où j’avais la chance de faire de l’ancien-français.