Le second argument correspond au risque de plagiat, pratique bien réelle dans le monde universitaire, loin d’être l’apanage des étudiants. En réalité, la mise en ligne me semble être un instrument de lutte contre le plagiat bien plus efficace qu’un dépôt dans une seule bibliothèque universitaire. D’abord, référencée en ligne, une thèse est mieux connue ; ensuite, les logiciels anti-plagiat – de plus en plus utilisés par les universités – moissonnent les dépôts d’archives ouvertes.
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J’étais attablée en salle de travail à la bibliothèque, toute entière dans ma lecture, bien contenue dans le rond éclairé de ma lampe et dans le silence entretenu, dans ma bulle comme on dit. Il a eu ce geste d’ombre sur moi, il a fait ce que je déteste, ce que je n’ai jamais laissé personne faire avant lui, lire par-dessus mon épaule. Je ne sais pas pourquoi, cette fois, ça ne m’a pas gênée. Je ne l’ai pas regardé. Passé un tout petit temps d’arrêt et de surprise, j’ai recommencé à lire, et lui de même, derrière moi, debout, après avoir eu cette délicatesse de s’écarter juste de quoi me redonner suffisamment de lumière et sans jamais salir le silence, ce silence de bibliothèque fait de petits bruits de papier, de chaises à peine poussées et de pas chuchotants. Ses mains se sont posées de part et d’autres des miennes, qui tenaient le livre, ses bras tendus ont fait comme des barrières de protection pour mon espace, cet espace de lecture jalousement épousé, notre espace désormais. Et nous avions sans voir nos yeux les mêmes regards, les mêmes pauses. Même arrêt des virgules, mêmes fins de phrases. Je sentais en tournant la page qu’il était arrivé en bas d’elle. Nous lisions au même rythme, et depuis nous avons veillé à garder ce rythme, même quand ça ne va plus trop entre nous. Nous lisons toujours ensemble, et si nous nous manquons de quelques lignes, nous nous attendons.
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| Le palais des congrès de Lyon. Par Flexikon (Own work). CC-BY-SA-3.0, via Wikimedia Commons |
L’IFLA, la voix des bibliothèques dans le monde : stratégie, engagements, activités majeures, par Pascal Sanz, président du Comité français international bibliothèques et documentation (CFIBD)
L’IFLA et ses congrès : un centre de ressources pour les professionnels des bibliothèques, une chance pour la lecture publique, par Philippe Colomb (Bibliothèque publique d’information)
Le Congrès IFLA en France en août 2014, de l’idée à la réalité : le rôle des différents acteurs, par Pascal Sanz
Participer à l’IFLA : pourquoi pas vous ?
Table ronde animée par Christophe Pavlidès, avec Céline Huault, boursière du CFIBD à l’IFLA 2012 et Julien Sempéré (SCD Paris Descartes), boursier du CFIBD à l’IFLA 2013
Accueillir les bibliothécaires du monde entier : l’organisation du congrès 2014 et l’enjeu des volontaires, par Elisabeth Lemau, coordinatrice nationale du volontariat IFLA Lyon 2014
« C’est la principale raison pour laquelle le comportement des internautes sur les réseaux sociaux n’est pas si désinvolte. » Les gens s’exposent, mais c’est une exposition choisie, positive. C’est par cette dernière qu’on construit sa personnalité numérique « , continue Emmanuel Kessous. Une idée que résume bien Denis Humbert, un romancier de 64 ans : » Nous savons bien que nos échanges ne sont qu’un jeu de rôle dont nous créons les personnages. «
10H45 c’est l’heure du standup. […] En 15 minutes, tout le monde debout (pour que la rencontre soit courte), chacun énumère rapidement sur quoi il a travaillé hier, une ou deux choses à accomplir aujourd’hui et si quelque chose bloque la progression. Une des personnes présente prends des notes de style télégraphique et après le standup elle les envoie à une adresse de courriel à laquelle tous les employés de la compagnie peuvent s’abonner. Tout le monde peut voir tout le temps qui travaille sur quoi et ce que l’empêche de progresser. La plupart des tâches sont des tickets dans le système de gestion.
- Oral de motivation (interne)
« Il faut mener une réflexion approfondie sur la mobilité et les carrières », La Gazette, 25 mars 2013. Dix minutes de commentaire, suivies de vingt minutes de questions.
I – Un statut protecteur mais un manque de reconnaissance
– emploi garanti, statut de la FP (1983),
– satisfaction des agents, dit la ministre
– statut qui offre aussi des garanties aux usagers des services (obligation de neutralité, de discrétion des agents, etc)
– pour les agents par contre, peu de perspectives de carrière hors concours et promotion
– la formation des agents se développe mais n’est pas suffisante pour permettre une véritable évolution des carrières.
– importance de la VAE
– peu de reconnaissance du travail des équipes, selon les agents
II – Mais des réformes à la fois nécessaires et impopulaires
– MAP : suite de la RGPP (définitions)
– certains ministères sont beaucoup plus touchés par la baisse des effectifs. L’ESR est relativement épargné.
– exemple des CAF, de Pôle emploi : traitement des dossiers plus rapide par manque de personnel. Les usagers perçoivent une qualité de service moindre.
– Pourtant des actions parfois importantes : charte de qualité accueil. Ont par exemple obligé à repenser les procédures.
– La question de la mobilité est impopulaire chez les agents, pourtant elle peut apporter un enrichissement à une carrière. Cependant les questions familiales sont à prendre en compte.
– L’allongement du temps de travail par la réforme des retraites : le journaliste demande si c’est une solution pour pallier les suppressions de postes.
– Question de la pénibilité si les agents sont plus âgés et des risques psycho-sociaux
Conclusion : statut protecteur mais le nombre accru de réformes a suscité l’inquiétude des agents. Malaise auquel il convient de répondre en tenant compte des contraintes budgétaires, ce qui n’est pas aisé.
– la RGPP a-t-elle permis de réduire le nombre de fonctionnaires ?
– des questions sur mon parcours, sur le fait que je n’ai pas enseigné avec un CAPES, sur ma participation au groupe bibliothèques hybrides,
– mon expérience de l’encadrement (je m’occupe des tuteurs à la BU),
– relations bibliothécaires/chercheurs,
– qu’attendez-vous de l’enssib ?
– …
- Oral de culture générale (interne)
– plusieurs questions sur le texte,
– déconcentration, décentralisation ; rôle des préfets (impact de la décentralisation sur leur rôle),
– création de l’ENA, date, histoire,
– Aristide Briand,
– quatre figures de républicains,
– les jeux vidéos sont-ils un divertissement ?
– liseuses/tablettes : ce qu’elles changent pour la lecture par rapport au papier,
– questions sur Queneau, Perec et l’Oulipo,
– …
- Espagnol (interne)
« Entramos en la casa de las palabras« , Víctor Núñez Jaime, El País, 3 mars 2013. Le texte donné s’arrêtait à « amén », la partie que j’ai dû traduire est le paragraphe 3.
Traduction : une bonne partie de l’épreuve a consisté dans la reprise de ma traduction. J’ai trouvé ce paragraphe difficile. Il y avait un poème, des métaphores, j’ai dû justifier mes choix et revenir sur mes erreurs. Le jury m’a demandé quelle partie j’avais trouvé la plus dure pour la traduction, je lui ai répondu le plus honnêtement du monde (d’autant plus que j’étais persuadée d’avoir raté l’épreuve).
Questions :
– on m’a demandé de présenter le texte. Même si j’ai eu des difficultés pour la traduction, j’avais gardé quelques minutes pendant la préparation pour réfléchir à une présentation du texte avec deux axes, histoire de ne pas être prise au dépourvu si la question m’était posée.
– les autres questions ont porté sur les littératures espagnole et latino-américaines. Ce sont des littératures que j’aime par-dessus tout, j’espère que j’ai eu l’enthousiasme communicatif !
- Pour conclure
Ne négligez pas la motivation professionnelle. Ça a été ma grande erreur il y a trois ans. Paniquée que j’étais par l’étendue de mes lacunes en culture générale, j’ai privilégié cette épreuve. Or la motivation ne s’improvise pas : au minimum, lisez quelques ouvrages sur le management et posez-vous la question de votre vision de l’encadrement.
Si vous avez la chance de travailler en bibliothèque, observez vos chefs — sans leur dire 😉 — et réfléchissez à la façon dont ils prennent chacune de leurs décisions. Soyez attentifs à leur manière de répondre ou pas aux demandes des agents. Feriez-vous pareil ? Si oui/non, pourquoi ? Essayez de faire le lien entre ce que vous voyez sur le terrain et les manuels lus, puis faites-en votre miel afin de pouvoir livrer au jury une vision de l’encadrement qui vous soit personnelle. L’idée est de maîtriser quelques termes de management et d’en glisser dans l’entretien pour montrer qu’on les connaît, sans pour autant livrer un discours formaté.
La question de l’encadrement est essentielle pour les jurys et on ne peut que leur donner raison. Un mauvais management peut avoir des conséquences à ce point désastreuses sur les individus, voire sur les équipes entières, qu’on ne peut traiter ce sujet à la légère.
Enfin, pensez à voir loin : le jury peut très bien poser des questions sur le long terme. A vous de savoir si vous pensez à une carrière très classique (ce lien est une boutade) ou plutôt geek (ce lien est aussi une boutade). Plus sérieusement, demandez-vous si dans dix ans vous auriez envie d’un parcours dans la veine de celui de Christophe Peralès ou de Nicolas Morin, de Bertrand Calenge ou de Manue Bermès. Désolée pour le name dropping, j’essaie juste d’illustrer la variété des profils possibles dans un même corps.
La langue, dont le coefficient a été augmenté, peut rapporter des points et permet de réviser en se faisant plaisir : lire des romans et regarder des séries ou des films n’est pas des plus désagréables. Et ça servira toujours pour l’IFLA !
Pour tordre le cou aux terreurs nocturnes concernant la culture générale, il y a des choses cette année que je n’ai pas sues et je m’en suis sortie avec une note moyenne. Les derniers rapports de jury indiquent que nos capacités d’analyse sont privilégiées et j’ai eu vraiment l’impression que c’était le cas.
Pour la préparation, je crois que le minimum est de lire un quotidien du soir, de parcourir les articles de quelques autres et de jeter des coups d’œil réguliers aux magazines d’actualité. Ajouter Esprit et quelques revues du même genre est une bonne chose.
Il existe des manuels de culture générale qui sont de bonnes bases pour réactiver les vieilles connaissances endormies depuis le lycée. Plusieurs privilégient la forme quizz, qui peut aider quand on n’en peut plus de relire ses fiches. J’avais effectivement fait ou récupéré des fiches sur les sections du programme. Pour gagner du temps, je me suis limitée dans les fiches que je faisais moi-même aux sujets incontournables et j’en ai énormément récupéré, celles de prépa d’une copine, d’autres sur internet, etc.
Pour ce qui est de la presse pro, j’ai passé quelques demi-journées sur la mezzanine de la bibliothèque Buffon. Elle donne sur le jardin des plantes et le wifi ne marchait pas, parfait pour ne pas se distraire ! Et il y a le thé à la menthe de la mosquée toute proche en récompense.
Concernant les écrits, une dernière chose pour les internes, continuez à écrire. Sur un blog, sur du papier vergé, pour parler des aventures de votre chat ou de la cuisine moléculaire, qu’importe, mais continuez à écrire. Si je compare mes dissertations de CAPES et celles des deux années précédentes, la différence est frappante en matière de style et de richesse de vocabulaire, mais aussi dans la façon de structurer le discours. Pour moi, c’est une catastrophe. En catégorie B, les tâches professionnelles conduisent rarement à rédiger et les capacités d’écriture se perdent très vite. Entretenez-les, même par de longues lettres à tata Georgette (en plus elle sera contente).
Que dire d’autre ? Le travail personnel est essentiel pour les concours mais il y a aussi une part de chance sur laquelle on n’a aucune prise. Tout échec est à prendre comme une expérience pour s’améliorer. Quoiqu’il se passe, continuez à les passer. J’ai failli arrêter bien des fois, sans le harcèlement soutien familial et l’appui des collègues je n’aurais peut-être pas persévéré. J’aurais vraiment eu tort.
J’essaierai de faire un billet sur les épreuves écrites à la rentrée. D’ici là, bel été !
- Oral de motivation (interne)
Commentaire (reconstitué d’après mes brouillons, l’article est en édition abonnés, c’est dommage, car le commentaire seul ne vous aidera pas beaucoup sans lui) : après une présentation rapide du thème de l’article et de son auteur, j’ai repris pour la problématique le terme du sous-titre de l’article : dans quelle mesure la communication d’entreprise traditionnelle est-elle devenue « inaudible » ? Plan en 2 parties : la fin d’un modèle ; vers une « communication-négociation »
I – a – définition du modèle traditionnel, fondé sur une « communication-transmission », qui va du haut vers le bas (exemple d’entreprises très paternalistes au 20e s), journaux d’entreprises plus promotionnels qu’informatifs, réunions d’informations plus que d’échanges.
I – b – Mais la crise et l’évolution de la société remettent ce modèle en cause : les salariés sont très informés (ex. de Petroplus), d’où des inquiétudes légitimes de leur part. Il existe aujourd’hui une porosité entre extérieur et intérieur qui ne permet plus de maintenir les schémas traditionnels. Les dirigeants, comme les enseignants, doivent s’adresser à leurs salariés avec une présomption de compétence (voir Petite poucette de M. Serres). Si les entreprises verrouillent la communication, cela génère forcément des tensions.
Transition : ce modèle est à changer, sans pour autant tomber dans l’utopie des phalanstères qui, eux non plus, ne correspondent plus à l’époque.
II – a – Pour Wolton, il faut penser la communication comme « condition de confiance dans les rapports sociaux ». L’ancien modèle continue à faire des dégâts : les suicides à France Telecom et La Poste sont en partie imputables à une perte de confiance des salariés vis-à-vis de leurs entreprises. Il s’agit de changer de modèle, c’est-à-dire savoir glisser d’un modèle vertical vers plus d’horizontalité (exemples : groupes de travail, informer différemment via des RSE, …).
b – Il faut aussi s’appuyer sur l’intelligence créatrice en utilisant les compétences de chacun et en étant à l’écoute des équipes. Enfin, Wolton préconise de revaloriser les représentants du personnel et les syndicats en restaurant le dialogue.Tout cela dans le respect de la hiérarchie : les décisions doivent être prises à la suite de négociations, en s’appuyant sur les salariés. Elles doivent être transparentes, pour répondre à une exigence forte de la société d’aujourd’hui.
- Oral de culture générale (interne)
Commentaire (reconstitué d’après mes brouillons, essayez là aussi de mettre la main sur l’article sinon ce ne sera pas très parlant) : en introduction, j’ai précisé d’emblée que le texte prenait fait et cause pour les PPP, avant de les définir. Problématique : dans quelle mesure les PPP contribueraient-ils à créer du bien public.
Plan en 2 parties : un héritage ancien qui n’a cessé de se développer ; mais un modèle remis en cause aujourd’hui.
I – Un héritage ancien, a – depuis Colbert, après les guerres dispendieuses de Louis XIV. Colbert a imaginé ce moyen pour doter la France des infrastructures qui lui faisaient défaut (ex. du canal du Midi). Bémols immédiats de ma part : au 17e s, l’économie reposait beaucoup sur la politique agricole, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. Il y a certes eu de grands travaux mais c’est une époque troublée où la pauvreté était très importante.
I – b – Au 20e s, projets d’autoroutes par des sociétés privées avec des péages le temps de rentabiliser les travaux. Exemples d’hôpitaux et d’universités avec PPP. Points positifs : délais de constructions tenus et bâtiments livrés dans les temps.
II – Mais un modèle remis en cause aujourd’hui. a – Les PPP ne sont ni un modèle de privatisation, ni des nationalisations, disait le texte. Pourtant, des tensions s’exerceront forcément entre une entreprise qui cherche à générer du projet et l’Etat qui cherche à faire des économies (ce passage vous dit quelque chose ? c’est normal ! Moralité : continuez vos activités même pendant les préparations aux oraux). Si on reprend l’exemples des autoroutes, elles ne sont toujours pas gratuites aujourd’hui…
II – b – On constate un net ralentissement des PPP depuis le retour de la gauche au pouvoir et une augmentation des appels d’offres (définition d’appel d’offres et différences entre les deux). Les appels d’offres, il faut le souligner, font aussi travailler des entreprises privées. Le texte évoque le recours aux entreprises locales dans le cadre des PPP mais on constate que ce sont souvent de très grosses entreprises qui les remportent. Il y a certes des raisons électoralistes dans cet infléchissement des recours aux PPP mais on sait désormais aussi qu’ils ne sont pas sans problèmes. Les loyers sont très chers, les réparations et les ajouts de matériels sont facturés lourdement et les établissements ont peu de liberté de manœuvre pour faire évoluer « leur » bâtiment. Les universités et les hôpitaux qui ont eu recours à des PPP récemment ont connu des déboires : locaux inutilisables pour certains. Enfin, les exemples étrangers ne sont pas rassurants, certains hôpitaux anglo-saxons sont en faillite à cause de loyers trop chers.
Conclusion : Les PPP sont sans doute importants lorsque l’Etat peine à emprunter de l’argent pour investir. Pourtant, même si la France a perdu son triple A, ses taux d’emprunt sont encore avantageux. Faut-il alors prendre le risque de ces loyers très élevés qu’imposent les PPP ?
En papotant avec les candidats, nous avons constaté que nous avions souvent les mêmes questions, sans doute pour que le jury puisse véritablement nous comparer.
Une astuce : faire des plans bateau ! En trente minutes de préparation, pas le temps de finasser. Je fais toujours ultra simple mais je veille par contre à bien souligner la problématique et l’annonce du plan en introduction, puis à signaler que je passe à la 2e partie quand j’y arrive. Même chose pour la conclusion. En général, je vois le jury prendre des notes consciencieusement dans ces moments-là : au énième candidat, les jurys sont contents quand ils n’ont pas à se creuser pour savoir où vous en êtes de votre exposé.
C’est un bref aperçu des épreuves qui n’est peut-être pas très parlant. Les oraux sont d’abord une conversation, certes formelle, avec une introduction par le candidat un peu longue, mais une conversation quand même : le jury oriente ses questions en fonction de votre commentaire (donc pas de références pour faire bien que vous ne saurez pas développer ensuite !), puis ses autres demandes en fonctions de vos réponses successives.
Le jury cherche systématiquement à savoir jusqu’où le candidat peut aller : j’ai eu des questions auxquelles je ne savais pas répondre dans tous les oraux que j’ai passés. Il s’agit de voir comment le candidat se débrouille pour ne pas répondre à la question, s’il se déstabilise ou pas. Ce n’est qu’un moyen de vérifier qu’une fois cadre on ne s’effondrera pas devant une demande difficile.
Les jurys des concours de bibliothèques sont parfois impressionnants mais je les ai toujours trouvés bienveillants. Les procès qui leur sont parfois faits me semblent un peu injustes. Si vous avez passé comme moi les oraux du CAPES, vous saurez de quoi je parle en matière de jurys terrifiants !
Que dire de plus ? Qu’il faut garder confiance en soi, tout le temps. Plus facile à dire qu’à faire, j’en conviens… Et puis il y a une part de chance dans tous les concours. Si j’avais eu des questions sur les facteurs d’impact des revues scientifiques comme Emilie, j’aurais été bien en peine d’y répondre…



