Au salon du livre

Il y a peu de monde ! Moi qui imaginais devoir slalomer entre les allées, j’ai été (dés)agréablement surprise. A part les stars (Nothomb, Lévy et autres jeunes romanciers français chevelus), peu d’auteurs déplacent véritablement les foules. Ca me désole, même si j’ai apprécié de pouvoir marcher tranquillement.

Rencontre avec un diffuseur/distributeur avec qui je devais m’entretenir pour mon mémoire de DUT. Fructueux.

J’ai récupéré force prospectus à la BnF mais je n’ai pas vu la démonstration d’Europeana.

Déception, par contre, au stand de l’ABF, où j’ai longuement regardé les bulletins d’adhésion, en attendant que la personne du stand, qui discutait avec une de ses collègues, me renseigne. Il n’en fut rien. Je partis fort vexée, et toujours pas adhérente.

Au détour d’une allée, croisé Florian Zeller, toujours aussi ébouriffé. Illico, j’ai replongé dans des abîmes de perplexité : mais comment La Fascination du pire a-t-il pu avoir l’Interallié ? Ce genre de considération étant absolument inutile pour ce blog, j’arrêterai là ma rubrique pipeule du salon du livre…

Et, comme je n’ai pas assisté aux conférences plus professionnelles, ce billet stoppera net !

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