Je crois que les bibliothécaires ont pris conscience qu’ils ne détenaient plus le monopole de la diffusion de la connaissance et qu’ils avaient tout à gagner à s’ouvrir sur le monde. C’est sans doute un topos que de dire cela, mais Internet représente une chance inouïe pour les bibliothèques : elles doivent juste comprendre ce qu’elles peuvent en faire et apprendre à en tirer le meilleur.