Quant à moi, je maintiens la position exprimée depuis plus de dix ans.
À savoir que ce qui importe, c’est le texte, et non le livre.

Qu’en effet, le support a une influence sur le texte, autant pour la production littéraire que pour la lecture, mais que c’est un effet de transition (faut-il rappeler tous ces débats sur l’écriture à la plume, au stylo ou à la machine à écrire tout au long du 20e siècle ?…)

Que la question du support est négligeable en regard de celle du génie des auteurs (quand il est là).

Berlol, « Du génie des auteurs (quand il est là) », Journal LittéRéticulaire 2.0