Bibliothéconomie & Cie. - Dir. publ. et réd. en chef Cécile Arènes. - Paris : [s. n.], 2006 - ... .

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Littérature calédonienne (2) : les classiques

Une vingtaine d’années après la prise de possession, des textes d’Européens, colons et bagnards, installés en Nouvelle-Calédonie, commencent à paraître. Associés à la tradition orale kanak, ces documents jettent les fondements de la future littérature calédonienne. Les thèmes abordés sont essentiellement le bagne et l’éden, ainsi que le monde mélanésien. Par la suite, à la fin du XIXe siècle, viennent des plumes qui compteront dans l’histoire littéraire de Nouvelle-Calédonie.

Georges Baudoux (1870-1949) décrit sans exotisme le monde de la brousse, bien souvent avec une pointe d’humour. Arrivé en 1874 en Nouvelle-Calédonie, ce prospecteur puis écrivain publie ses premiers écrits dans les années 1920. Ses récits satiriques et réalistes connaissent un vif succès.

Jean Mariotti (1901-1975), lui, livre des romans d’analyse qui visent à connaître l’homme et le monde. Né en brousse, il quitte la Nouvelle-Calédonie en 1922 pour s’établir à Paris. Cet écrivain et homme de radio connaît le succès de son vivant et il reste un écrivain reconnu internationalement ; Chevalier de la Légion d’honneur et Chevalier des Arts et des lettres, il a été le vice-président de la Société des Gens de Lettres de France. Il est publié par de grandes maisons, Stock et Gallimard entre autres. C’est à lui qu’a été confiée la composition du Livre du Centenaire1 en 1953. Pour François Bogliolo, « son œuvre littéraire, la plus importante de la production néo-calédonienne, pourrait se résumer en deux thèmes majeurs dans lesquels le rêve ou le merveilleux ne sont jamais absents : exportation et adaptation de la civilisation occidentale aux antipodes, recherche de l’harmonie avec la nature dans le monde canaque »2. Lorsque Jean Mariotti décrit ce qu’il appelle la « cosmogonie canaque », il abolit souvent les frontières entre réel et merveilleux, livrant des pages captivantes.

Alin Laubreaux, tristement connu pour ses positions antisémites, est un auteur qui s’emploiera à dénoncer dans ses textes le système colonial. Dans Le Rocher à la voile, roman publié chez Albin Michel en 1930, il dépeint plusieurs destinées d’un point de vue qu’on pourrait qualifier d’anti-colonial.

Dans l’ensemble des textes de cette époque, un français calédonien voit le jour. Les écrits sont parsemés de mots empruntés au vocabulaire régional et des thèmes, comme la colonie, le bagne, l’éden, se mettent déjà en place.

1 Centenaire de la prise de possession de la Nouvelle-Calédonie par la France, en 1853.

2 In François BOGLIOLO, op. cit., p. 156.

Sauvons Oscar Hibou

La librairie Oscar Hibou, véritable institution de la BD à Bordeaux, est menacée de fermeture. Pourquoi ? Un simple retard de paiement, la banque qui par la suite refuse de prêter et le cercle vicieux commence pour une librairie indépendante comme celle-ci.

Pourtant, et c’est ce qui met en rogne, Oscar Hibou va bien ! Elle reçoit des commandes, elle travaille avec de très nombreuses bibliothèques et elle a des clients, des passionnés qui viennent parce qu’on y trouve ce qu’on ne voit jamais ailleurs. Seulement voilà, le livre, avec son prix unique, ne fait pas de profits suffisamment gros pour un banquier et les institutions publiques mettent trois mois à payer les factures. Et c’est trop pour un établissement à l’équilibre fragile.

Bédélire, autre célèbre librairie BD de Bordeaux, a fermé il y a quelques mois pour les mêmes raisons.

Combien de temps allons-nous encore compter les morts, hein ?

David Fournol, le patron d’Oscar Hibou, explique pourtant : « La librairie ne va pas si mal, on a des commandes, on a la pêche, mais on manque de trésorerie et on a des dettes. Il me suffit d’être à nouveau en positif pendant cinq à six mois et on est sauvé. »

Un comité de soutien s’est monté, comme l’explique cet article. Lisez, transmettez et si vous passez par Bordeaux, allez donc acheter une BD ou un livre de jeunesse.
Moi, j’y vais vendredi !

« O fontaine Bellerie, belle fontaine chérie »

Où l’auteur de ce blog va surfer de l’autre côté des Pyrénées, se rappelle que fuente signifie dans la langue de Cervantes à la fois source et fontaine et en rapporte céans une petite image… (Billet écrit relativement vite, qui demanderait à être amélioré mais… le temps s’en va !)

Paris – Luxembourg Quarter: Jardin Marco Polo – Fontaine des Quatre-Parties-du-Monde
Mise en ligne par wallyg

Il était une fois, il y a bien longtemps, un lieu magique et feutré où étaient conservés des documents en grand nombre. Des livres, des journaux, des revues et d’autres choses encore qui, vestiges d’une époque, témoigneraient pour les lecteurs des années à venir de ce qu’avaient accompli leurs ancêtres. Cette information, précieuse, pourrait être assimilée, à de l’eau.

Dans ces temps lointains, la bibliothèque était elle-même la source de l’information, il fallait venir à elle pour recueillir humblement ce dont on avait besoin pour sa recherche, pour étancher sa soif de connaissance. Pour ce faire, on avait recours à un sourcier, un bibliothécaire un peu sorcier qui, muni d’un bâton en forme de Y, était souvent le seul à savoir où se trouvait l’information. Ainsi, la bibliothèque d’antan se trouvait être la source de l’information.

Mais aujourd’hui, qu’est devenue la bibliothèque ? Aujourd’hui, l’information est mouvante et multiple. Elle n’est plus seulement à notre disposition sur le papier mais sur un nombre grandissant de supports. Et la bibliothèque, emportée comme tout un chacun dans ce courant rapide, a mué. La bibliothèque, à l’heure actuelle, est devenue une fontaine. Elle capte ses informations à un grand nombre de sources et son rôle principal est de prendre soin de les épurer, de les nettoyer d’éventuelles pollutions. Aujourd’hui, la bibliothèque n’est plus à l’origine de l’information, elle en est l’un des fournisseurs. Là où certains de ces fournisseurs déversent une information abondante et polluée, les bibliothécaires, eux, prennent le temps de sélectionner l’information la plus fiable, de confronter les sources et de ne retenir que les meilleures d’entre elles pour offrir une eau claire et limpide.

Finalement, les bibliothécaires d’antan et ceux d’aujourd’hui poursuivent le même but : ils veulent offrir un accès à une information de qualité. C’est tout simplement l’endroit où l’on capte l’information/l’eau qui a changé.

Le titre de ce billet est une citation des deux premiers vers de l’Ode IX, livre II des Odes de Ronsard.

Je définis le web 2.0 comme étant la conception de systèmes qui mettent à profit les effets des réseaux sociaux pour tirer le meilleur de ceux qui les utilisent, ou pour parler plus simplement, mettre à profit “l’intelligence collective”. Cela inclut bien entendu la collaboration en réseaux formels mais cela devrait englober également toutes manières de créer des synergies en connectant les individus à un réseau.

Tim O’Reilly, O’Reilly radar (via Bertrand Duperrin, traduit par lui)

Littérature calédonienne (1) : genèse

Petits extraits de mon mémoire de DUT de façon à mettre en avant une littérature que je regrette de voir si mal connue… Je n’ai pas recréé tous les liens dans cette série de billets mais vous pouvez consulter le del.icio.us que j’avais alimenté à l’occasion du mémoire.

La littérature de Nouvelle-Calédonie est le fruit d’une histoire complexe. Elle est forte des influences d’un monde mélanésien traditionnellement fondé sur l’oralité ainsi que des écrits des premiers explorateurs occidentaux.

La tradition orale kanak

La Nouvelle-Calédonie est un lieu de tradition orale. Les premières légendes, les mythes originels se sont donc transmis par des procédés mnémoniques que n’ont pas manqué de remarquer les premiers Européens arrivés dans l’archipel. Rapidement, les missionnaires commencent à collecter les récits mélanésiens. En effet, « un peuple sans écriture n’est pas un peuple sans histoire ni littérature1 ». Leurs transcriptions ne vont pas sans difficultés car, outre les problèmes de traduction, ils se heurtent également au passage de l’oral à l’écrit. Toutefois, ces documents constituent les premiers témoignages des légendes mélanésiennes. Viendront s’y ajouter, dès les années 1930, les transcriptions plus fidèles des ethnologues. La tradition orale kanak a en partie posé les fondements de la littérature calédonienne d’aujourd’hui.

Les écrits des Occidentaux

Les premiers explorateurs européens rendent tôt compte de leurs voyages. Si ces récits de voyage décrivent le pays découvert, ils évoquent tout autant le voyageur lui-même qui rédige selon sa propre perception, influencé par ses codes socio-culturels. « L’Européen se crée donc une image océanienne faite pour répondre à sa vision occidentale »2. Ce type de textes n’appartient pas à proprement parler à la production calédonienne et reste une littérature à propos de la Nouvelle-Calédonie. Le navigateur James Cook et Jules Garnier, le géologue qui a donné son nom à la garniérite, font partie des narrateurs les plus connus de cette période. Les bagnards décrivent également cette île sur laquelle ils sont retenus prisonniers. L’homme politique et journaliste Henri Rochefort, déporté en 1871, rend compte ainsi de son expérience du bagne dans un roman acerbe. De même, Louise Michel évoque dans ses écrits ses années de captivité sur l’île Nou. Par ailleurs, dans certains textes de Francis Carco, né à Nouméa sous le nom de Carcopino, apparaissent des descriptions de la pègre parisienne. Les personnages campés ne sont pas sans rappeler les bagnards que l’auteur a cotoyés dans ses jeunes années.

Au XXe siècle, le pasteur Maurice Leenhardt, également ethnologue, n’aura de cesse de décrire le monde mélanésien avec une grande rigueur scientifique. Ses textes participent à faire connaître la culture kanak, dont il est un ardent défenseur.

1 In François BOGLIOLO, Paroles et Ecritures, Anthologie de la littérature néo-calédonienne. Nouméa : éd. du Cagou, 1994, p. 7.

2 In François BOGLIOLO, op.cit., p. 63.

Les deux jambes de la bibliothèque
La jambe droite, la bibliothèque visible, peut être étendue grâce à la rotation des collections, horizontale ou asymétrique (comme font les BDP) tandis que la jambe gauche (la bibliothèque invisible) peut l’être par le prêt entre bibliothèques, horizontale ou asymétrique (comme celui de la réserve centrale de la Ville de Paris) : c’est ce que je nomme le « double réseautage », en utilisant un mot québécois bien commode. Puis je propose d’utiliser le modèle de la longue traîne pour rendre compte d’un fonctionnement en réseau des bibliothèques. Je conclus que la coopération et la mutualisation, appuyée sur les catalogues collectifs et une logistique de transport, permettre d’étendre l’offre pour satisfaire à bon compte les demandes récurrentes ou marginales.

Où l’on reparle de web sémantique

Les présentations de l’excellente journée sur le web sémantique, organisée en juin dernier par l’AULA, sont désormais en ligne.

Pour mémoire, intervenaient :

  • Marc Maisonneuve, Tosca consultants
  • Raphaël Troncy, CWI (Centre for Mathematics and Computer Science)
  • Olivier Walbecq, Groupe Archimed
  • Lucile Grand, Direction des archives de France, département des publics
  • Dominique Stutzmann, Bibliothèque nationale de France, département de la bibliothèque numérique
  • Isabelle WESTEEL, Médiathèque Jean Lévy – BM de Lille
  • Yann Nicolas, Agence Bibliographiques de l’Enseignement Supérieur (ABES)
  • Gautier Poupeau, Atos Origin

Papotages

Au vu du nombre de blogs dont les noms l’évoquent (Bruit et chuchotements, Brouehaha, La Mémoire de silence…), la question du bruit en bibliothèque n’est pas si anodine qu’elle ne le paraît au premier abord.

Cela fait assez longtemps déjà que j’avais abordé le problème (ici puis ), ayant été confrontée aux bavardages incessants dans un autre établissement. Le fait de devoir faire de la discipline, chose pour laquelle je n’excelle pas, m’avait laissé un goût amer.

En allant au congrès de Reims, j’avais repéré, dans le diaporama de présentation de la toute nouvelle BU Robert de Sorbon, de beaux panneaux indiquant des zones de bruit et de silence. J’ai mailé depuis pour avoir plus de détails sans succès et je vous donnerai sans doute d’autres informations très bientôt. Toutefois, le hasard faisant bien les choses, j’ai retrouvé en faisant du tri dans tous la paperasse ramenée de l’Aisne la Marne un prospectus de cette bibliothèque.

Elle est donc divisée en trois types d’espaces :
– zone SILENCE,
– zone CALME,
– zone CONVERSATION.

Si j’avais été usager dans un tel établissement, j’aurais adoré pouvoir choisir le niveau sonore en fonction des gens avec qui je me rendais dans les locaux. On ne s’installe pas au même endroit avec les bavards invétérés qu’avec ceux qui sont prêts à rentrer à la Grande Chartreuse…

Plus sérieusement, quelqu’un de ma promo d’IUT a travaillé sur le silence en bibliothèque mais, malheureusement, nos mémoires ne sont toujours pas en ligne ! Si le sujet vous intéresse, à vous le voyage dans le Sud ou le PEB…

Update : au vu d’un récent commentaire, ce billet aura vraisemblablement une suite 🙂

La bibliothèque hybride ? Petite synthèse d’un concept

Publié dans Outil web 2.0 en bibliothèque, dirigé par J. Sauteron et F. Queyraud. Paris : ABF, 2008

La bibliothèque hybride a pour but d’offrir à ses usagers des espaces d’échanges, qu’ils se trouvent dans la bibliothèque physique ou sur Internet, de concourir à créer des communautés, virtuelles ou pas, et surtout de rendre l’utilisateur participant, voire même acteur de son établissement. La bibliothèque hybride accueille donc des utilisacteurs1 et elle intègre leurs contributions au travail des professionnels. Pour ce faire, elle a fréquemment recours aux technologies du web 2.0, qui sont notamment axées sur les services, et elle prend de fait souvent le nom de bibliothèque 2.0. Portails personnalisables, blogs et autres plateformes d’échanges sont donc largement utilisés dans les bibliothèques dites 2.0.

La bibliothèque hybride s’intéresse également aux grandes évolutions de l’Internet et de ses usages et particulièrement aux perspectives offertes par le web sémantique, encore appelé web de données2. Il lui donne les moyens d’identifier chaque donnée : ainsi, intégrer les contributions des usagers, créer des liens vers des ressources extérieures ne constituent plus d’obstacles dans la mesure où tout élément possède une « plaque d’immatriculation » qui sert à l’identifier instamment. Le web sémantique permet à la bibliothèque hybride de résoudre le problème de la validation de l’information. L’avantage de cette technologie du point de vue d’un hybride est ainsi d’inviter chacun à prendre part à la constitution de la bibliothèque, chacun selon son niveau. De cette façon, la bibliothèque hybride pourra satisfaire tous les lecteurs, de celui qui a besoin d’une rigueur scientifique dans sa recherche de l’information à celui qui souhaite trouver d’autres avis de lecteurs sur un document donné. Ces deux pratiques n’étant pas incompatibles, la bibliothèque hybride a donc des lecteurs hybrides, à la fois bénéficiaires du service et contributeurs.
Le web sémantique aidera surtout la bibliothèque hybride à s’affranchir de certaines contraintes. Si chaque donnée est identifiée, il ne s’agira plus que de créer des liens entre elles. Si de nombreux « propriétaires » de données participent à l’aventure, le bibliothécaire hybride pourra devenir à terme une sorte de cordelier, qui tisse et relie tous ces éléments entre eux. Avec des réservoirs aussi vastes que ceux de DBpedia et Geonames, cela peut ouvrir des possibilités infinies. Sur la gigantesque toile du web, le bibliothécaire hybride deviendrait alors une petite main qui n’aurait de cesse que de créer des chemins pour ses usagers, des chemins qui les conduiraient tant sur la toile que dans la bibliothèque physique3.
En effet, la bibliothèque hybride est aussi un établissement de proximité, tout en étant visible sur Internet depuis Bali ou Nouméa. Pour ce faire, les permaliens n’ont plus de secrets pour elles (ou ne devraient plus en avoir) et les données rendues enfin accessibles sont indexables par les moteurs de recherches4. La bibliothèque hybride est à la fois la bibliothèque physique, l’établissement dans lequel se trouve la collection, mais aussi la bibliothèque impalpable, toutes ces ressources innombrables auxquelles le numérique peut donner accès5.
Et ce bibliothécaire hybride alors, que fait-il d’autre hormis tisser des liens ? Le bibliothécaire hybride n’est plus un préposé derrière une banque de prêt, il est un agent qui se déplace dans les locaux, à la rencontre des usagers. Ce n’est plus le public qui vient au bibliothécaire mais le bibliothécaire qui vient au public. Pour cela, il est déchargé de certaines tâches internes (le catalogage ayant échu à des agences bibliographiques, il se contente la plupart du temps de localiser les ressources qui lui sont propres, ne créant plus que les quelques notices qui n’existent pas encore). Le travail collaboratif avec ses collègues des réseaux des bibliothèques avoisinantes n’a plus de secret pour lui, il ne pense pas « Je » mais « Nous ». Il veille, trie et met en avant des informations en direction d’une communauté entière. Enfin, le bibliothécaire hybride est un metteur en scène : il se déplace fréquemment dans les collections pour les mettre en espaces au gré des animations qui ont lieu dans son établissement. Il déplace même parfois les collections pour laisser place aux usagers qui viennent profiter de ces ressources pérennes et pourtant changeantes.
Le bibliothécaire hybride est, finalement, l’hôte de tous ces gens qui viennent échanger6. Il s’attache à ce qu’ils se trouvent bien, à devancer leurs besoins mais aussi à les surprendre. Il est hybride dans le sens où il s’intéresse à tous les supports de documents, du vélin au pixel et où il n’a de cesse que de créer des accès vers ces différentes ressources pour ses usagers ; il est encore hybride quand il pense aux publics et non plus au public. Il est hybride, enfin, dans sa permanence à défendre une constance dans le service au public tout en essayant d’anticiper les tendances qui seront celles de ses usagers de demain. Il est autant vigie que mousse sur le navire, à la fois en train de veiller et d’accomplir des besognes contingentes.

1Utilisacteur : le terme est recensé dès 2004.
On le retrouve également sur le blog Les petites cases de Gautier Poupeau.
2Touitou, Cécile, « Compte-rendu synthétique de la journée sur le web sémantique » (Paris, 27 juin 2008)
3La façon d’appréhender l’information change dans la bibliothèque hybride. Elle n’est plus droite mais courbe.
Briys, Eric et Nock, Richard, « « S’il vous plaît, dessine moi une bibliothèque«  : de la bibliothèque euclidienne à la bibliothèque numérique ».
4Dujol, Lionel, « URL est la copine de ma notice », La Bibliothèque apprivoisée
5Lahary Dominique, « Les deux jambes de la bibliothèque », DLog
6La notion d’ « animateur de communauté », développée par les « Geemiks » de l’ESC Lille, définit ainsi ce rôle : il s’agit de « motiv[er] ses membres à être acteur dans la création de connaissance, dans le partage et la sélection d’informations ».
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